Blogs

- Maître Mickaël Waldmann - Avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles
- jeudi, 05 novembre 2015
Question de Franck (35) : Opticien diplômé, je viens de quitter le poste que j’occupais. La clause de non-concurrence insérée à mon ancien contrat est très faiblement rémunérée (moins de 10% de mon ancienne rémunération). Outre le fait qu’elle m’interdit de retravailler sur une très vaste zone géographique, je crains la réaction de mon ancien employeur si je retrouvais un poste non loin de l’ancien magasin ou j’ai travaillé pendant plus de 6 ans. Pourriez-vous m’éclairer sur la validité de ma clause de non concurrence ?
- Dominique Cuvillier - Consultant, essayiste
- mercredi, 14 octobre 2015
Le dernier SILMO a démontré l’importance de participer à un événement annuel qui rassemble la profession mais surtout, combien il fallait l’aborder avec un seul objectif : regarder l’avenir. Exposants et visiteurs, pour une grande partie d’entre eux, se sont focalisés sur cet objectif avec pour résultat, une ambiance business palpable, tangible, rassurante. Même s’il faut demeurer vigilant, ce salon est largement alimenté par les internationaux, les opticiens français étant toujours en retrait, balancés entre fatalisme et nostalgie d’un âge d’or révolu.
- Dominique Cuvillier - Consultant, essayiste
- vendredi, 28 août 2015
Ce jeu populaire d’origine américaine (« The price is right », créé en 1956) a fait les beaux jours de la télévision dans de nombreux pays du monde, mais perd aujourd’hui de sa saveur dans une économie à tendance déflationniste. Un cauchemar pour les Etats piégés dans un marasme qu’aucune mesure de relance ne parvient à sortir franchement. Il y a plusieurs paramètres à cette situation dont celui engendré par… les consommateurs eux-mêmes !
- Dominique Cuvillier - Consultant, essayiste
- lundi, 20 juillet 2015
Dans un marché de l’optique en pleine crise existentielle, les plus entreprenants doivent en profiter pour contourner les contraintes et répondre aux nouveaux comportements d’achat. Plus que jamais, la consommation est tirée vers le bas et vers le haut : les consommateurs choisissant de payer le moins cher possible pour des produits de commodités, des produits à valeur fonctionnelle, ou s’engager à débourser un prix élevé pour des produits plaisir, des produits à forte valeur émotionnelle.
- Dominique Cuvillier - Consultant, essayiste
- lundi, 01 juin 2015
Le socialisme français demeure une particularité exotique parmi les pays développés entretenue par des politiciens, castrateurs de la libre entreprise, qui s’entêtent à fonder une société uniforme et collectiviste, la promesse d’un progrès linéaire pour tous, à condition de réglementer et de taxer.
- Maître Mickaël Waldmann - Avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles
- lundi, 18 mai 2015
Question de Daniel (95) : Opticien et salarié d’un fonds de commerce, je viens d’apprendre que les dirigeants de mon entreprise envisagent de céder l’activité sous une forme que je ne connais pas encore. J’ai également cru comprendre qu’ils avaient entamé des discussions avec un candidat repreneur. Est-il vrai que les salariés ont également la possibilité de se porter acquéreur de l’entreprise ou du fonds de commerce ?
- Dominique Cuvillier - Consultant, essayiste
- lundi, 20 avril 2015
Les ruptures dans la distribution sont assez peu nombreuses pour être signalées, parce que le temps du commerce est un temps long : investissements physiques et gourmands en capitaux obligent.
- Maître Mickaël Waldmann - Avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles
- vendredi, 06 février 2015
Question de Romain (92) : Franchisé d’une grande enseigne nationale, j’ai licencié au mois de février un de mes salariés pour un motif économique parfaitement avéré. Pour me conformer au droit et sur les conseils de mon expert comptable, j’ai indiqué dans la lettre de rupture que nous ne disposions pas de solution de reclassement au sein de l’entreprise. L’avocat de mon ancien salarié vient de m’écrire pour me dire que j’aurais du également interroger mon franchiseur pour connaitre des possibilités de reclassement au sein du groupe auquel j’appartiens. Est-ce vrai ?
- Dominique Cuvillier - Consultant, essayiste
- mercredi, 04 février 2015
Les prospectivistes, dont je fais partie, constatent que d’ici à 2030/2035, près de deux milliards d’emplois auront disparu sans qu’ils soient remplacés à coup sûr.