Luz propose un concept de spécialisation en basse vision

Après d'autres segments spécialisés (le sport, la vision de l’enfant), la centrale propose maintenant à ses adhérents de se positionner sur le marché, encore très peu exploité par la profession, de la basse vision et des pathologies rétiniennes.

« La basse vision mérite un autre regard » : le slogan est bien trouvé et il est signé Luz. Car la centrale s'intéresse désormais au marché, encore très peu exploité par la profession, de la basse vision et des pathologies rétiniennes. Un prolongement logique après la mise en place d’autres concepts clé en main dédiés, depuis déjà dix ans, à la vision de l’enfant (à travers OptiKid) et, plus récemment, à la vision des sportifs (via Les Lunetiers Sportifs). Le constat de la centrale est le suivant : « Alors que le nombre de personnes atteintes de basse vision se développe, peu d’opticiens, à l’exception des grandes villes, sont à même de les conseiller et de les équiper ». Il y aurait aujourd’hui, selon un chiffre d’Essilor avancé par Luz, près de deux millions de personnes malvoyantes en France. Toujours dans l’idée de proposer à ses membres des leviers de différenciation pertinents, la centrale a donc mis au point un programme complet de spécialisation baptisé « Un Dixième+ ».

« Ce concept exclusif construit son approche autour des trois visions : de loin dynamique, de loin statique, de près, détaille-t-on chez Luz. Les solutions proposées par les opticiens Un Dixième+ vont ainsi pouvoir apporter plus de sécurité et de confort aux personnes atteintes de pathologies rétiniennes ». Ce programme de spécialisation s’appuie sur quatre piliers : un cycle de formations pour acquérir l’expertise et les bonnes pratiques pour la prise en charge des patients, une équipe de délégués à l’information médicale pour accompagner l’opticien sur le terrain médical et paramédical (notamment pour les relations prescripteurs), un pack de démarrage composé de produits et de solutions sur-mesure incontournables à avoir en tant qu’expert et, enfin, des supports de communication et des outils marketing pour communiquer localement et faire connaître son expertise auprès de tous (patients de différentes tranches d’âge, aidants, ophtalmologistes, orthoptistes…).

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