Black Shadow : décollage imminent chez Aoyama
En janvier 2015, Aoyama va lancer Black Shadow, une nouvelle marque qui exploite notamment les propriétés de l'aluminium. Comme dans l'aéronautique.
Philippe Beuscart, le PDG d’Aoyama, est un passionné d’aviation. Comme tous les amateurs d'aéronautique, il sait que l'aluminium est un matériau de prédilection des concepteurs d'avions. La masse volumique faible du matériau permet en effet de produire des avions légers tout en permettant d’absorber les hautes pressions rencontrées en altitude. Très résistant à la corrosion, il constitue en outre un excellent isolant contre l’air et le froid. Enfin, l’aluminium est recyclable à l’infini sans perte de ses propriétés. Tous ces atouts en font un allié incontournable en aéronautique. Légèreté, résistance, capacité à absorber des pressions sont également des notions primordiales pour la conception des lunettes. D'où l'idée d'Aoyama de proposer une gamme à ses clients utilisant l'aluminium.
Logiquement, c'est donc en s'inspirant de l’univers de l’aviation qu'est née Black Shadow. "Cette collection rend hommage aux avions de légende, à leurs designs aérodynamiques qui offrent aux pilotes une visibilité maximale et permettent d’exalter leurs qualités d’exigence et de précision", explique-t-on avec enthousiasme chez Aoyama. Solaire et optique, la gamme propose des modèles aux designs profilés, qui séduiront avant tout une clientèle jeune et sportive. Dans le détail, la collection Black Shadow se compose de 2 gammes optiques et 1 solaire. La gamme optique se partage entre une ligne très typée en aluminium (15 modèles) et une autre plus classique en métal et acétate (11 modèles). Quant à la gamme solaire, elle est polarisée et comprend 16 modèles.
Pour la petite histoire, chaque modèle porte le nom d’un avion mythique, en clin d'oeil à l’histoire aéronautique. Par exemple on trouve le modèle Mustang, qui célèbre le chasseur le plus réputé de la Seconde Guerre mondiale grâce à sa grande finesse aérodynamique. Ou le modèle Piper, ainsi baptisé en souvenir de l’avion qui survola Paris occupée, fin août 1944, pour annoncer aux résistants l’arrivée prochaine des troupes alliées conduites par Leclerc.
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