Lunettes Lexilens (Atol) : le défi de voir au-delà de la dyslexie
Dans le cadre de la récente Journée nationale des Dys, l’enseigne a mis en lumière des profils de dyslexiques utilisateurs des lunettes électroniques Lexilens. Un équipement qui les a aidés à dépasser leur handicap.
Le 14 octobre dernier a eu lieu la Journée nationale des Dys. Quelque 7 millions de Français seraient diversement concernés par ces troubles neurodéveloppementaux (dyslexie, dysphasie, dyspraxie…). Atol a participé à l’événement au titre de promoteur de la solution Lexilens*, ses lunettes intelligentes qui s’adressent aussi bien aux adultes qu’aux enfants atteints de dyslexie. Un équipement dont la fonction est, rappelons-le, de faciliter la lecture.
À l’occasion de la Journée nationale des Dys, l’enseigne a plus particulièrement voulu mettre en avant une vision optimiste et positive de la dyslexie. En ce sens, le témoignage parmi d'autres de Victoire Schaffner, étudiante dyslexique et utilisatrice des lunettes Lexilens, se voulait inspirant : « Certains professeurs me répétaient que je n'aurai pas le brevet des collèges, et je l'ai eu. Puis, que je ne ferai rien après le lycée, et je suis en 2ème année de BTS SAM (Support à l'Action Managériale). Si je peux donner un conseil aux personnes dyslexiques et à leurs familles, ne baissez pas les bras. Exprimez-vous autrement, dans la musique, l'art, la création... Vous n'êtes pas ordinaires, vous êtes extraordinaires ! », a confié l'enthousiasmante jeune femme nordiste, interrogée par le fameux médecin-animateur télé Michel Cymès, médiateur pour l’occasion.
À travers la restitution du parcours de Victoire Schaffner, le but d’Atol était aussi de sensibiliser le public à la perception des dyslexiques en milieu professionnel : « La dyslexie reste encore perçue comme un frein dans sa carrière et reste un tabou dans la sphère professionnelle. Pourtant, selon une étude LinkedIn/CSA de juin 2023, alors que 82 % des actifs dyslexiques témoignent avoir connu des difficultés d’apprentissage à l'école, 59 % d’entre eux considèrent que ces difficultés ont finalement été des atouts dans leur carrière du fait des compétences qu’ils ont pu développer », a indiqué l’enseigne.
* Ce dispositif est actuellement utilisé par plus de 5 000 utilisateurs dans 36 pays, dont 3 000 en France.
Pour recevoir les dernières infos, inscrivez-vous à notre newsletter