Entouré de sa famille, de ses amis et de ses collègues "atoliens", Phillipe Peyrard, DG délégué de l'enseigne, s'est vu remettre les insignes de l'Ordre National du Mérite hier soir.

Ce n'est pas tous les jours que l'on reçoit une telle distinction. Hier soir, Atol a donc mis les petits plats dans les grands pour honorer, comme il se doit dans ces cas-là, l'un des siens, à savoir Philippe Peyrard, directeur général délégué. C'est sur la Seine, à bord d'un bateau-mouche privatisé pour l'occasion, que plusieurs centaines d'invités, dont la sculpturale Adriana Karembeu, ambassadrice du réseau, se sont pressés à cette soirée. En maîtres de cérémonie, Éric Plat et Gérard Coulon ont retracé le parcours et le portrait de cet homme, entrepreneur dans l'âme, qui a intégré la coopérative en 1995, après des expériences chez Benetton, Safilo et L'Amy. Mais c'est Xavier Fontanet, le président d'Essilor, qui a remis à Philippe Peyrard cette décoration attribuée sur la demande de l'ex-ministre de l'Industrie, Christian Estrosi. Tous les deux, Estrosi et Peyrard, ont en effet été en relation au moment d'émettre, avec d'autres, des solutions concrètes pour impulser des initiatives de réindustrialisation de la France. Seul hic de cette soirée ponctuée de discours et d'émotions : l'absence remarquée du député Yves Jégo, à l'origine d'un rapport sur le label "Origine France garantie", et qui aurait du être de la fête. Cette défection de dernière minute n'a cependant pas empêché la tenue d'un échange convivial entre les invités autour des enjeux liés à ce que Philippe Peyrard appelle "la citoyenneté économique". Et sur ce point, Atol s'enorgueillit d'être l'un des artisans de la revalorisation du savoir-faire lunetier hexagonal et plus particulièrement jurassien, puisque Oxibis est l'un de ses partenaires privilégiés dans le cadre de la toute récente collection Nu vendue dans le réseau.

Photo : P. Peyrard (à gauche) et X. Fontanet.