Essilor parmi les 52 entreprises qui « changent le monde », selon le magazine Fortune
L'influente publication américaine consacrée à l’économie reconnaît pour la première fois Essilor comme l’une des 52 entreprises ayant un impact social positif dans le monde.
Habitué des palmarès mondiaux, notamment celui du magazine Forbes à propos des compagnies internationales les plus innovantes, le groupe Essilor voit pour la première fois son implication sociale mise à l’honneur dans la liste « Change the world » établie par le magazine économique américain Fortune et qui se concentre essentiellement sur les sociétés dont le chiffre d’affaires annuel dépasse le milliard de dollars. Précisons que les rédacteurs et éditeurs du magazine américain ont évalué les entreprises en croisant quatre critères : l’impact social mesurable, les résultats économiques, le degré d’innovation et la culture d’entreprise. Le géant d’optique-lunetterie fait son entrée dans ce classement à la 17ème place (juste derrière Apple). PDG d’Essilor, Hubert Sagnières se réjouit évidemment de cette mise en avant : « Nous recevons la distinction décernée par le magazine Fortune avec fierté et responsabilité. Cette reconnaissance est un formidable encouragement pour notre engagement à construire un modèle économique durable et résoudre un problème mondial. Nous poursuivons nos actions pour réaliser notre ambition d'éradiquer le mal voir : en tant que leader dans l’optique, il est de notre devoir de continuer à repousser les limites des solutions visuelles ; tous les salariés d'Essilor, de la direction aux ateliers, partagent et vivent cette ambition. Grâce à notre récent rapprochement avec Luxottica, nous sommes dorénavant le leader de l'industrie des produits et instruments optiques, ce qui nous offre une plateforme et une échelle encore plus grandes pour atteindre notre objectif. » L’une des facettes de la mission d'Essilor consiste notamment à lutter contre le mal-voir qui touche actuellement environ 2,5 milliards de personnes, dont 90 % vivent dans des économies défavorisées.
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